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Festival du Saule 2024

L’ATEA – Atelier théâtre de l’École alsacienne est très heureux de vous présenter la troisième édition de son festival de théâtre en plein air, au Bassin de l’Arsenal, le festival du Saule ! Nous comptons sur votre présence !

2024 – 3e édition du festival du Saule

« Du 20 au 22 septembre venez découvrir 7 spectacles qui mêlent théâtre et musique, et partager avec les équipes artistiques un instant d’art vivant au bord de l’eau.

Après avoir emprunté le nouveau grand escalier de la Bastille, être passé devant les bateaux Henri IV, Arletty ou Sysley, juste là entre le Saule pleureur et les gradins emblématiques du jardin, une scène apparaît au milieu des pavés historiques du quai.

Ce festival vous est proposé par l’ATEA (Atelier Théâtre de l’École Alsacienne) en partenariat  avec : Le Yacht Club Paris Bastille, Fayolle Marine, Le Grand Bleu et Canauxrama. »

Lou Hacquet-Delepine et Justine Robin
directrice artistique et programmatrice du festival.

Au programme

Sept spectacles en plein air. Entrée libre.

Vendredi 20 septembre à 17h00
Ça ira (1) Fin de Louis de Joël Pommerat

(2h00) Théâtre

Avec : La troupe ATEA Sup
Mise en scène : Alexis Roque et Lucas Hérault

Ça ira (1) Fin de Louis est une fiction politique contemporaine inspirée de la Révolution française. Saisissant cette histoire fondatrice de notre société, Joël Pommerat décrit presque au jour le jour l’avènement et l’événement de la démocratie. Présentée pour la première fois en 2016, Ça ira rencontre un succès critique et public important, et sera consacrée, entre autres, par le Molière du théâtre public. Joël Pommerat interroge la place originelle de la vie politique au théâtre, tout en interrogeant avec lucidité et humour les fondements de notre démocratie.

Samedi 21 septembre à 12h00
La Voix est libre

(1h10) Poésie et musique

Récitation : Xavier Peyrache
Violoncelle et Chant : Erwan Piriou

Nous avons conçu ce spectacle avec Erwan Piriou il y a plus d’un an.
C’est comme un récital écrit à quatre mains, à deux voix, avec un violoncelle autour de grands textes de Hugo (Les contemplations, La légende des siècles, Notre Dame de Paris, les Misérables), de Hikmet ou de Couté et des chants du monde. Chants, récitations par coeur et violoncelle se mêlent. Deux voix, deux humains qui s’écoutent, se répondent, et font vibrer textes et chants. Tour à tour, leurs voix émeuvent, amusent et saisissent. Le violoncelle, troisième comparse, vient ajouter son vocable pour un moment suspendu.

Samedi 21 septembre à 15h00
Eustache et les meringues

(0h45) Contes et musique

Écriture, mise en voix et composition : Maxime Vergnol

Il raconte des histoires vraies destinées aux personnes qui acceptent de croire que les histoires fausses mais mirifiques peuvent devenir vraiment aussi vraies que les histoires vraies lorsque leurs yeux sont assez hermétiquement fermés. Si vous aimez les contes d’aventures en musique, que vous aimez les meringues et que vous brûlez de connaître la définition du mot mirifique, bienvenue !

Samedi 21 septembre à 18h00
Vic et les Garçons & Ceryse

(1h00) Musique

Premier set de 30 min : Vic et les Garçons
Deuxième set de 30 min : Ceryse

Vic et les garçons est un trio de jeunes musicien.ne.s aux influences variées. Au croisement de la pop, du funk et du jazz, la musique est leur terrain de jeu car Vic et les garçons, c’est avant tout la rencontre musicale de trois ami.e.s. A la batterie, Alix. À la guitare et à la basse, Hippo. Au chant et au piano, Victoire.

Ceryse est un auteur-compositeur de chansons en français aux influences pop. Ses chansons pop et poétiques aux nuances solaires lui ressemblent : elles sont authentiques, bienveillantes et humanistes. Du petit fruit charnu dont il a emprunté le nom, Ceryse a la légèreté et le goût de l’enfance. Ce paradis perdu qui nous préserve des injonctions et des obligations sociales. En solo ou accompagné de ses deux comparses, Maxime et Jonathan, il s’est donné pour objectif de partager son univers mélancolique et joyeux avec le plus de sincérité possible.

Dimanche 22 septembre à 11h00
Ma petite Michou

(0h45) Théâtre

de la Cie Du’elles
Avec : Justine Robin et Lou Hacquet-Delepine

“Ma petite Michou” est une fenêtre ouverte sur la relation entre une mère et sa fille au coeur de la Seconde Guerre mondiale. Le spectacle est né d’une lettre retrouvée dans un tiroir : Andrée Lermusiaux écrit à sa fille Micheline alors qu’elles n’ont eu que peu d’occasions de se voir pendant toute la durée du conflit. À travers ce précieux témoignage d’un passé familial, les comédiennes entendent explorer différents thèmes universels tels que l’amour maternel, l’espoir et la séparation. Les personnages d’Andrée et de Michou se veulent être les témoins d’un passé que nous connaissons tous, tout en offrant au public une vision et une perspective qui leur sont propres.
La compagnie Du’elles, faire duo dans les duels, laisser place aux elles.

Dimanche 22 septembre à 14h00
Manger !

(0h45) Théâtre

de la Cie des Devenirs
Avec : Anna Sorin, Pierre Aroux, Clément Salomon
Mise en scène : Lucas Hérault
Assistanat : Eulalie Uguen
Dramaturgie : Cécile Ghrénassia

Au fil d’un voyage mouvementé, Gargantua et son précepteur Ponocrates vont de découvertes en apprentissages jusqu’à, peu à peu, trouver leur équilibre alimentaire. Tandis qu’un narrateur fantasque conte au public les pérégrinations des deux comparses, les interprètes se lancent dans une grande fresque épique pour retranscrire les péripéties de leurs personnages. À trois, les interprètes livrent au public une performance théâtrale burlesque, rythmée et physique, proche de la farce et de l’esthétique gargantuesque.
L’auteur et metteur en scène Lucas Hérault, s’attaque à l’idée reçue selon laquelle ce qui est bon au goût serait mauvais pour le santé et ce qui est bon pour la santé serait mauvais au goût. Lucas Hérault, également diplômé d’un BTS Arts de la table, nous invite à nous interroger sur notre rapport à la nourriture.

Dimanche 22 septembre à 18h00
Un caillou peut en cacher un autre

(1h20) Théâtre

de la Cie des Escales Forcées
Avec : Louise Adda, Élio Gaudé, Olga Milshtein, Matteo Riou, Lola Searle, Eulalie Uguen et Rose Vergez
Texte : Madeleine Bakke, Dimitri Berger, Eulalie Uguen et Rose Vergez
Scénographie : Madeleine Bakke et Léandre Moncade
Aide à la direction d’acteu.rice.s : Eulalie Uguen
Mise en scène : Dimitri Berger

Un caillou peut en cacher un autre, surtout lorsque l’on joue sur des pavés. Sur les cailloux, un escalier, une scène surélevée et un bureau. Sur les cailloux, quatre pauvres amateur.e.s – une franciscaine, un.e bouffon, un.e poète maudit.e, un.e nihiliste – deux vagabond.e.s, une troupe de théâtre, un roi, un.e crève-la-faim, des juges, la Mort et une poète. Sur les cailloux, un spectacle qui meurt, un autre qui naît.
Une création originale à partir des Soliloques et de La Lune des pauvres de Jean-Pierre Siméon. Avec des extraits de Six Personnages en quête d’auteur de Luigi Pirandello (traduction de Michel Arnaud), Le Roi Famine de Léonid Andreïev et de L’Héritier du Théâtre de l’Aquarium.

Le lieu : le bassin de l’Arsenal à Paris

Le Festival du Saule est installé au Bassin de l’Arsenal, à côté de la place de la Bastille (Paris 12e), à côté du Restaurant Le Grand Bleu.

Pour venir :
67 bd de la Bastille, 75012
M° (1)(5)(8)Bastille ou (7) Sully-Morland
Bus [86][87] Bastille – Henri IV
Station Vélib Bastille – Biscornet

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